Une obligation légale : RT2012
RT2012, maîtriser sa consommation d’énergie sans sacrifier son confort
Comment aborder la RT 2012 ?
La
RT 2012 est certes une obligation légale, beaucoup y voit une contrainte susceptible de grever leur budget, dans l’absolu, il en est tout autre.
Bien qu’il existe effectivement un
surcoût du poste isolation et systèmes, celui-ci peut être en grande partie absorbé par la diminution générale du coût du bâtiment impliquant une approche morphologique et de
conception technique adaptée.
Mettre en regard le surcoût initial constructif avec les économies de fonctionnement de ce même bâtiment permet de réaliser, de façon évidente, qu’au lieu d’être un point grevant, la
RT 2012 est avant tout une garantie d’économies conséquentes réelles. En règle générale, ce surcoût constructif est amortissable sur 3 ans de fonctionnement.
La
RT 2012, outre un gage d’économies, est aussi l’assurance d’une maîtrise de ses consommations, d’un
habitat plus sain, plus agréable, plus facile à vivre et plus respectueux de l’environnement.
Maîtriser sa consommation d’énergie sans sacrifier son confort,
c’est faire du bien à son budget, préparer l’avenir de ses enfants et respecter son milieu.
Dans cette prise de conscience, la conception bioclimatique de l’habitat, la technologie dont nous disposons, nous permettent, d’ores et déjà, dans un budget maîtrisé, d’aller encore plus loin que les simples limites de la
RT 2012.
Des aides existent, le reste n’est que volonté.
Pour la première fois dans toute l’histoire de l’humanité, l’homme a perturbé son milieu climatique et hypothéqué son avenir et environnement.
Pour la première fois aussi, dans l’histoire de l’humanité, il lui est donné de pouvoir agir et corriger ses erreurs.
Le BEPOS à portée de main : en route vers la RT 2020
Concevoir et réaliser des bâtiments responsables capables de produire plus d’énergie qu’ils n’en consomment est aujourd’hui une réalité d’actualités.
Pour ce faire, la production d’énergie renouvelable du bâtiment devra être égale ou supérieure à sa consommation d’énergie primaire (avec certains écarts permis et intégrés aux calculs fonction du type de bâtiment, sa zone géographique et son usage).
D’où une part importante accordée à des questions énergétiques (énergies renouvelables, qualité de l’air, cycles de vie des matériaux de construction,…)
Au-delà de toutes considérations généralistes ou réglementaires, notre bureau d’études y intègre et porte un soin tout particulier aux
spécificités inhérentes à la localisation du projet, notamment en ce qui concerne la qualité de l’air, dont certains paramètres peuvent venir en contradiction ou tout du moins engendrer des consommations supplémentaires au regard des contraintes réglementaires. En effet, tous les bâtiments ne sont aujourd’hui malheureusement pas soumis à des contrôles stricts concernant ce point qui relève pourtant du domaine de la santé publique.